J’apprends tellement de choses depuis que je fais le sport. Je considère qu’il ne s’agit pas seulement de raisons qui touchent le bien-être ou la santé du corps. C’est un chemin de vie, une opportunité pour grandir, pour se comprendre mieux à soi-même et aux autres.
En lisant ce petit raconto dans le livre de Joe Friel : « The triathlete’s training bible », un soudain brille est apparu dans mes yeux et un presque imperceptible sourire dans mes lèvres. J’espère que vous allez aussi l’aimer.
Ça fait quelque temps, la NASA développa un intérêt sur le bourdon. Les scientifiques croyaient que le petit insecte enfermait un secret que pourrait être utilisé pour opérer les navettes dans l’espace. Ils se sont demandé comment les petites ailes du bourdon étaient capables de produire un envol suffisant par rapport à un torse assez large et poilu. Comment un corps ballonné et une position qu’allait à l’encontre des principes aérodynamiques pouvait se déplacer si efficacement dans l’air?
Après avoir examiné, disséqué, mesuré, filmé, observé, scruté, comparé, quantifié, ils ont arrivé à la conclusion que le bourdon n’est pas capable de voler. Ce que ces insectes -un peu têtus- croient que le vol est quelque chose de naturel en eux.
Quant au cheval, le cheval de course plus précisément, on trouve que sa physiologie est similaire à celle d’un athlète humain et que le cheval est entraîné de la même façon qu’un humain. Les entraîneurs de chevaux, savent que ils ont une valeur, un potentiel à entraîner et utilisent des méthodes scientifiques pour que le propriétaire ait le meilleur résultat pour son investissement. Pour y arriver, cardio-fréquencemètres, intervalles et entraînement d’endurance, plans d’alimentation et plans d’entraînements sont utilisés.
Psychologiquement, les chevaux des courses différent des humains : ils ne questionnent jamais leurs plans d’entraînement. Les chevaux simplement suivent le plan, sans se demander si c’est assez. Ils ne sortent pas le matin et ajoutent des kilomètres risquant une blessure. Ils ne se sentent pas coupables après une pauvre performance. Le succès ou l’échec n’a pas d’importance pour eux, leur vies dans la cabane se passe comme toujours. C’est vrai que le jour de la compétition, ils sont nerveux, tel que les humains. Ils savent ce qui est en train de se passer, mais ils n’exacerbent pas leur tension en se comparant aux autres. À la place ils s’accrochent à leur propos : devenir plus rapides. Et si le cheval est physiquement fort el l’entraineur intelligent, cela se produira.
Croie en toi-même comme le bourdon le fait. Sans cette confiance, même toute la science réunie au monde ne pourra rien faire pour toi.
Changer l’entraînement à ta guise après une compétition c’est le chemin sûr vers l’échec.
Pense comme un bourdon, entraîne-toi comme un cheval.
« If you think you can or think you can’t, you are probably right » -Henry Ford-
En lisant ce petit raconto dans le livre de Joe Friel : « The triathlete’s training bible », un soudain brille est apparu dans mes yeux et un presque imperceptible sourire dans mes lèvres. J’espère que vous allez aussi l’aimer.
Ça fait quelque temps, la NASA développa un intérêt sur le bourdon. Les scientifiques croyaient que le petit insecte enfermait un secret que pourrait être utilisé pour opérer les navettes dans l’espace. Ils se sont demandé comment les petites ailes du bourdon étaient capables de produire un envol suffisant par rapport à un torse assez large et poilu. Comment un corps ballonné et une position qu’allait à l’encontre des principes aérodynamiques pouvait se déplacer si efficacement dans l’air?
Après avoir examiné, disséqué, mesuré, filmé, observé, scruté, comparé, quantifié, ils ont arrivé à la conclusion que le bourdon n’est pas capable de voler. Ce que ces insectes -un peu têtus- croient que le vol est quelque chose de naturel en eux.
Quant au cheval, le cheval de course plus précisément, on trouve que sa physiologie est similaire à celle d’un athlète humain et que le cheval est entraîné de la même façon qu’un humain. Les entraîneurs de chevaux, savent que ils ont une valeur, un potentiel à entraîner et utilisent des méthodes scientifiques pour que le propriétaire ait le meilleur résultat pour son investissement. Pour y arriver, cardio-fréquencemètres, intervalles et entraînement d’endurance, plans d’alimentation et plans d’entraînements sont utilisés.
Psychologiquement, les chevaux des courses différent des humains : ils ne questionnent jamais leurs plans d’entraînement. Les chevaux simplement suivent le plan, sans se demander si c’est assez. Ils ne sortent pas le matin et ajoutent des kilomètres risquant une blessure. Ils ne se sentent pas coupables après une pauvre performance. Le succès ou l’échec n’a pas d’importance pour eux, leur vies dans la cabane se passe comme toujours. C’est vrai que le jour de la compétition, ils sont nerveux, tel que les humains. Ils savent ce qui est en train de se passer, mais ils n’exacerbent pas leur tension en se comparant aux autres. À la place ils s’accrochent à leur propos : devenir plus rapides. Et si le cheval est physiquement fort el l’entraineur intelligent, cela se produira.
Croie en toi-même comme le bourdon le fait. Sans cette confiance, même toute la science réunie au monde ne pourra rien faire pour toi.
Changer l’entraînement à ta guise après une compétition c’est le chemin sûr vers l’échec.
Pense comme un bourdon, entraîne-toi comme un cheval.
« If you think you can or think you can’t, you are probably right » -Henry Ford-
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire