lundi 19 juillet 2010

Nutrition et monde scientifique

Ça fait quelques semaines, à l’émission Planète Science à TéléQuébec, nous avons regardé un documentaire très intéressant sur la santé.
Des scientifiques se sont mis d’accord en soutenir que les principales causes de maladies d’aujourd’hui ce sont les radicaux libres que se libèrent et attaquent les cellules produisant leur vieillissement et destruction. Une alimentation riche en gras, la pollution environnementale, la cigarette et le stress se sont les principaux facteurs de production des radicaux libres.
Quand on nourrit les cellules avec les minéraux, vitamines et antioxydants essentiels à leur protection et survie, les cellules sont capables de lutter contre les radicaux libres. C’est magnifique aussi de voir le pouvoir de reconstruction de notre ADN.
Ils ont fait une étude sur la population de ONKINAWA, une île peuplée de gens heureux, qui atteignent la longévité et sont en bonne santé. Le secret des okinawens : une alimentation basée sur des fruits et légumes frais et exempts des produits chimiques ainsi que du poisson.
Une autre petit secret, ces gens heureux si bien mangent très peu et pourraient se considérer sous-alimentés, débordent d’énergie et mènent une vie simple exempte de stress. Selon les scientifiques, manger très peu suffit pour nourrir notre corps.

Par rapport à l’exercice : il faut bouger mais pas de façon exagéré. Les athlètes de performance ne vivement pas longtemps. Lors des leurs durs entrainements ils libèrent une énorme quantité de radicaux libres. Ces radicaux libres responsables du stress oxydatif doivent être éliminés par la prise de vitamines et antioxydants de bonne qualité pour éviter le vieillissement des cellules et des maladies qu’y sont reliées.

Un autre constat important: le resveratrol -un phytonutriment qui assure une protection antioxydant accrue- contenu dans les raisins rouges, contribuerait à la longévité, ce qui pourrait expliquer que les français qui aiment le vin, vivent plus longtemps.
Aussi il faut considérer que la diète européenne est toute à fait différente à celle de l’Amérique du Nord. Il suffit de regarder la pyramide des aliments suggéré par Santé Canada où les céréales, le pain, les grains et les pâtes (tous des aliments a IG élevé) sont à la base.

Voici une nouvelle pyramide élaborée par des chercheurs de l'Université de Harvard, qui démontre qu'un certain concensus commence à voir la lumière dans le monde scientifique par rapport à la nutrition: les viandes rouges, le beurre, le riz, le pain blanc, patates et pâtes au blé, ce sont des aliments à consommer presque jamais.

Au microscope




La capacité de régéneration présente dans la nature humaine c'est émouvante, même dans sa plus petite expression: les cellules.
J'ai choisi ces images pour vous montrer les différents états qu'une cellule peut adopter le long de sa vie:
1) En haut on observe un échantillon des cellules humaines saines.
2) Immédiatement en bas: des cellules après addition de produits digérés d'un repas riche en gras. On y observe les dommages causé par les lipides oxydés de l'aliment gras. Un tel dommage peut se produire dans tout l'organisme.
3) En bas: des cellules semblables lorsque des antioxydantes sont ajoutés.
La première ligne de défense est formée par une alimentation saine.

Puis, en regardant les images à droite j'ai l'impression que la vie moderne nous a bien eloignés de notre vraie nature qui réside-d'après moi-dans la simplicité de choses.

Source d'information: Brochure Sante et Liberté-Journal USANA

Pense comme un bourdon, entraîne-toi comme un cheval


J’apprends tellement de choses depuis que je fais le sport. Je considère qu’il ne s’agit pas seulement de raisons qui touchent le bien-être ou la santé du corps. C’est un chemin de vie, une opportunité pour grandir, pour se comprendre mieux à soi-même et aux autres.

En lisant ce petit raconto dans le livre de Joe Friel : « The triathlete’s training bible », un soudain brille est apparu dans mes yeux et un presque imperceptible sourire dans mes lèvres. J’espère que vous allez aussi l’aimer.

Ça fait quelque temps, la NASA développa un intérêt sur le bourdon. Les scientifiques croyaient que le petit insecte enfermait un secret que pourrait être utilisé pour opérer les navettes dans l’espace. Ils se sont demandé comment les petites ailes du bourdon étaient capables de produire un envol suffisant par rapport à un torse assez large et poilu. Comment un corps ballonné et une position qu’allait à l’encontre des principes aérodynamiques pouvait se déplacer si efficacement dans l’air?
Après avoir examiné, disséqué, mesuré, filmé, observé, scruté, comparé, quantifié, ils ont arrivé à la conclusion que le bourdon n’est pas capable de voler. Ce que ces insectes -un peu têtus- croient que le vol est quelque chose de naturel en eux.

Quant au cheval, le cheval de course plus précisément, on trouve que sa physiologie est similaire à celle d’un athlète humain et que le cheval est entraîné de la même façon qu’un humain. Les entraîneurs de chevaux, savent que ils ont une valeur, un potentiel à entraîner et utilisent des méthodes scientifiques pour que le propriétaire ait le meilleur résultat pour son investissement. Pour y arriver, cardio-fréquencemètres, intervalles et entraînement d’endurance, plans d’alimentation et plans d’entraînements sont utilisés.
Psychologiquement, les chevaux des courses différent des humains : ils ne questionnent jamais leurs plans d’entraînement. Les chevaux simplement suivent le plan, sans se demander si c’est assez. Ils ne sortent pas le matin et ajoutent des kilomètres risquant une blessure. Ils ne se sentent pas coupables après une pauvre performance. Le succès ou l’échec n’a pas d’importance pour eux, leur vies dans la cabane se passe comme toujours. C’est vrai que le jour de la compétition, ils sont nerveux, tel que les humains. Ils savent ce qui est en train de se passer, mais ils n’exacerbent pas leur tension en se comparant aux autres. À la place ils s’accrochent à leur propos : devenir plus rapides. Et si le cheval est physiquement fort el l’entraineur intelligent, cela se produira.

Croie en toi-même comme le bourdon le fait. Sans cette confiance, même toute la science réunie au monde ne pourra rien faire pour toi.
Changer l’entraînement à ta guise après une compétition c’est le chemin sûr vers l’échec.

Pense comme un bourdon, entraîne-toi comme un cheval.

« If you think you can or think you can’t, you are probably right » -Henry Ford-

A gazelle-like manner


Depuis quelque temps j’ai acquis l’habitude de regarder les pieds/jambes des coureurs, ainsi que leurs mouvements. C’est très vrai qu’il y a une beauté particulière qui s’apprécie dans quelques uns/unes. En anglais il y a une expression que j’aime bien : "a gazelle-like manner".
Présentement je m’adonne à la tache d'application de certaines techniques. Je suis tellement heureuse pendant la course. Je pratique toute sorte de mouvements, postures des jambes, bras, épaules, tête, pieds, visage, réspiration. Et le corps est ressenti de façon différente selon ces postures. Quand je réussis à compacter l'ensemble c'est une sensation de pouvoir, de gloire, d'unité. C’est comme glisser sur le terrain. On dépense moins d’énergie, on économise les mouvements, que deviennent plus efficaces, et on avance plus vit! L’idée c’est que les pieds restent au sol la moindre quantité de temps possible et qu’on applique l’atterrissage nommé du milieu. Il y a trois possibilités d'atterrisage: talon en premier, orteils en premier ou plante du pied en premier. C'est celle dernière l'appropriée que combiné à d'autres techniques permettent au corps de bouger de façon aérodynamique.

Les exercices ne s'arretent pas à ce temps d'entraînement. Je pense à tout l’ensemble pendant que je me promène au Vieux Port à midi et je me dis : il faut l’avoir dans la tête avant tout. Deviens-je obsédée?
Je vais l’avoir la gazelle!

Quelques informations à propos des glucides

Dr. Strand, spécialiste en médicine nutritionnelle expose les raisons pour ne pas consommer les sucres connus comme sucres rapides. Si bien l’article vise les athlètes, je trouve que cela s’applique à tout le monde.
J’ai toujours entendu dire que les athlètes doivent consommer du sucre avant, et pendant une compétition pour une meilleure performance.
En stimulant la production d’insuline parmi la consommation des glucides à indice glycémique élevé, le sucre dans le sang peut rester à un niveau élevé pendant une période de 15 à 20 minutes. Après cela elle tombe en atteignant l’hypoglycémie. Au même temps, deux hormones se libèrent. L’adrénaline et la cortisone vont apparaître pour essayer d’emmener le niveau du sucre à la normalité. Quand ces deux hormones se libèrent le système immunitaire est supprimé et la récupération des muscles se fera beaucoup plus lentement après l’exercice.
Donc, stimuler la sécrétion d’insuline par la consommation des glucides à indice glycémique élevé a de conséquences peu désirables sur notre santé.
Il y a une meilleure façon d’envoyer aux cellules des muscles de la bonne nourriture. Ce sont les glucides à indice glycémique bas qui doivent accompagner les protéines et les gras essentiels, pendant et après les exercices ou la compétition. Quand vous mangez les gels, barres ou boissons énergetiques (ces indispensables des sportifs) contenant les bons glucides, protéines et gras, vous ne faites pas monter le sucre d’un coup. Le sucre monte, mais tranquillement. C’est vraie qu’on stimule la production d’insuline, mais on ne le sur- stimule pas, comme dans le cas des sucres rapides. Le niveau de glucose restera élevé de 2 à 4 heures, et le muscle recevra un apporte de glucose de façon continuelle.
Loin (très) d’être une experte de la nutrition, je commence à comprendre. Dans mon cheminement vers de nouvelles découvertes quoi de mieux que de le partager avec ceux désireux de s’améliorer dans leurs corps et dans leurs têtes?
Cela s’applique à nous tous, sportifs ou pas, habitués à la consommation des sucres rapides, responsables celles-ci des maladies comme le diabètes, très répandu dans nos jours, même parmi les enfants.
L’heure venue de choisir les barres, gels, snacks ou boissons, préférez ceux à indice glycémique bas. Les fruits et légumes, préférablement saisonniers et biologiques, ce sont les meilleures sources du bon sucre.

Source d’information : Bulletin bimensuel du Dr Ray D. Strand. Septembre/Octobre 2008.
Pour avoir accès aux différentes informations et conseils de Dr. Strand il faut devenir membre.

C'est quoi ce qu'on boit?


J’avais déjà entendu dire que l’eau de robinet contient beaucoup de contaminants qui nuisent à notre santé. Ces contaminants éliminent les bonnes bactéries de notre système digestif-en étant ceci le premier pas vers l'affaiblissement de notre système immunitarie-ainsi que modifient le PH du corps en le tournant très acide. J’ai trouvé un billet bien intéressant sur le blogue de Natalia Gnecco intitulé: What are we drinking?, qui parle sur le sujet d’une façon très claire et précise. Donc, je vous invite à le lire et à en tirer vos propres conclusions. D'après moi, ce n'est pas une question de purisme.

Le rôle des anti-oxydantes

Le rôle des anti-oxydantes expliqué par M. Jean- Yves Dion à l’émission "L’Après-midi porte conseil" sur la première chaîne radio de Radio Canada.

Comment expulser les radicaux libres: Colorier l’assiette et la vie...!
Il y a une couleur que j'aime particulièrement: celle des rencontres avec des gens extraordinaires. C'est comme un gros soleil!